Lors des élections régionales de 2019, le challenge était de taille : faire un score suffisant pour être élue députée wallonne sur la liste MR, derrière Willy Borsus, et conserver, si possible, le mandat de bourgmestre obtenu pour la troisième fois à Libin en octobre 2018.

Et le rêve s’est réalisé !

11.974 électeurs luxembourgeois m’ont fait confiance lors de ce scrutin. Je suis élue députée régionale et le nombre de voix de préférence obtenu me permet d’être une des rares députées-bourgmestres de Wallonie.

Merci, une fois de plus, à tous ceux et celles qui ont voté pour moi.

 

Aujourd’hui, ma vie professionnelle se partage entre ma commune, Namur et le parlement wallon, et Bruxelles et le parlement de la Fédération Wallonie–Bruxelles ; entre les matières communales, régionales et communautaires.

 

Ce n’est pas toujours simple, l’investissement est conséquent, mais c’est toujours aussi passionnant.

 

Comme l’ont été les années antérieures.

 

À la tête de la commune de Libin depuis 2006, avec l’équipe qui m’entoure, aujourd’hui comme hier, nous avons fait de Libin une commune souvent citée en exemple : la Maison médicale, le développement du pôle spatial, la plate-forme bois énergie et le réseau de chaleur ou, encore, la gestion de nos forêts communales sont autant de domaines, pour ne citer qu’eux, pour lesquels nous sommes régulièrement consultés.

Sans parler des nouveaux projets qui verront le jour d’ici 2024, comme le village des aînés ou la réalisation des logements tremplins.

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Élue à la région, j’ai dû abandonner mon mandat de conseillère à la Province de Luxembourg, que j’ai rempli avec bonheur, au total pendant 13 ans. Et c’est à regret que j’ai démissionné, car l’institution provinciale luxembourgeoise a ceci de particulier qu’elle occupe depuis toujours une place particulière dans le cœur de ses administrés, dont elle défend les intérêts vis-à-vis des autres niveaux de pouvoirs.

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Députée aux parlements régional et communautaire, je me consacre désormais bien évidemment à défendre la Wallonie et la Communauté française mais c’est sans jamais oublier, à ces niveaux, les intérêts et les préoccupations des zones et des communes rurales, qui font la spécificité de ma province d’origine.